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Mon petit monde

Photo de Poutchiiiii

Poutchiiiii

Description :

Petit îlot sur le net où je me laisse aller à un peu d'égocentrisme. Petit endroit où j'expose ce que j'aime, ce que je fais et ce que je suis.
Amusez-vous bien si vous tombez dessus, et n'hésitez pas à laisser un petit mot, une petite trace de votre passage!

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Une improbable relation

            Il était gentil parce que ça lui paraissait naturel, normal, de l'être. Elle l'était, quant à elle, parce que c'était ce qui fonctionnait le mieux. Et c'est entre leurs deux sourires, si différents, que naquit la plus improbable des relations.




            Le réveil sonne. Il est six heures trente du matin. Elle se lève. Soupire. Déjà lundi... Elle passe une main agacée dans ses cheveux, que son sommeil agité a emmêlés, inspire profondément et se dirige vers la salle de bain attenante à sa chambre. Après une courte douche, emballée dans un large essuie noir, elle se dirige vers le grand miroir couvrant un des murs et allume la lampe qui le surplombe. Le travail pouvait commencer.
La beauté était un outil dans son travail. Un argument de poids. Sa beauté, était une arme, une lame qui devait être affutée régulièrement pour garder son tranchant.
Ses cheveux d'abord. Blonds, longs, ils étaient naturellement ondulés. Après les passages répétés de la brosse, ils brillaient d'une chaude lueur dorée, et glissaient sur ses épaules comme de la soie.
Une fine couche de fond de teint atténua les marques du sommeil et de l'âge qui, malgré ses efforts, commençait à se faire sentir.
Une touche de rose sur les pommettes, un trait de noir sur le contour des yeux qui, ainsi, ressortaient plus verts que jamais ; et le rouge, touche finale, parachevant le travail, signant l'½uvre, traçant ses lèvres pulpeuses.
Analysant le résultat, les traits sérieux, le regard sévère, elle déplaçait une mèche, étirait un pli léger au coin de sa paupière droite, atténuait certaines couleurs trop vives.
Sa tenue était parfaite. Elle la mettait en valeur. La faisait paraître plus mince, plus élancée, plus déterminée. C'était idéal pour un début de semaine !
Un dernier regard dans le miroir, un petit sourire satisfait, elle était partie.
 
            Le réveil sonne. Il est huit heures du matin. Il fait déjà lumineux. Il peut entendre, par sa fenêtre entrouverte, les oiseaux chanter. Cette journée va être parfaite ! Il adore le lundi !
Il se lève et, après s'être longuement étiré, s'habille. Deux croissants et un chocolat chaud plus tard, il était prêt à partir.
En passant devant le miroir de l'entrée, il se fit la remarque, en riant, que l'avantage d'être chauve, c'était de ne pas perdre de temps le matin à se coiffer.
Après un clin d'½il à son reflet, il était parti.
 
            Ils travaillaient tous les deux dans une des nombreuses agences bancaires du pays. Une grande agence, avec beaucoup d'employés. Ils s'étaient peut-être croisés deux fois. Se connaissaient de vue, guère plus. La superbe grande blonde. Le gentil petit gros.
 
            A l'heure du déjeuner, il avait décidé d'aller à la brasserie du coin. L'ambiance lui plaisait et les plats étaient vraiment bons. Il s'était assis à une petite table, près de l'entrée. Par la fenêtre, il pouvait voir les gens dans la rue, affairés. Il avait commandé un boulet frittes. Juste ce qu'il fallait pour recharger les batteries avant l'après-midi. Avec un grand sourire et un mot gentil, il remercia la serveuse. Plaçant la serviette à son col, il ouvrit son livre et, le livre dans une main, la fourchette dans l'autre, se plongea dans l'histoire, savourant l'intrigue et la sauce chasseur avec autant de plaisir.
 
            Elle accompagna son groupe de travail à la brasserie. Ce n'était pas dans ses habitudes de choisir ce genre de restaurant, mais le nouveau client que visait son parton avait marqué de l'intérêt à l'idée d'y manger.
Souriante, elle l'accompagna jusqu'à la table, la main sur son avant-bras, sa hanche l'effleurant parfois, au hasard des obstacles (réels ou imaginaires), évités pour atteindre leurs places.
 
            L'ambiance était un peu bruyante, mais ça ne l'empêchait pas de dévorer son chapitre. L'inspecteur venait de trouver une piste sérieuse, le tueur ne s'en sortirait pas !
 
            Alors que les plats arrivaient ; elle avait pris une salade de chèvres chauds, un plat qui faisait envie tout en étant léger, d'autant plus qu'elle ne mangerait que la salade ; son téléphone vibra. Discrètement, elle raccrocha. La discussion battait son plein. Elle était charmante, enthousiaste, aguicheuse parfois, dirigeant les conversations, ménageant les tensions sous-jacentes, attirant le nouveau client vers le programme visé par son boss, capturant le poisson dans son filet.
Riant à un mot d'humour, peu drôle, de celui-ci, elle perçut à nouveau la vibration de son portable.
S'excusant d'un : « Je vous demande pardon. Les affaires n'attendent pas... », agrémenté d'un sourire parfait, elle se leva de table, décrocha et, s'éloignant vers la sortie, mit le combiné à son oreille.
Sa s½ur, ravie, lui annonçait ses fiançailles. Elle ouvrit la porte du restaurant, sortit et la félicita d'une voix douce, son visage néanmoins figé dans une expression de douleur intense. La conversation dura quelques minutes, sa jeune s½ur lui racontant par le menu la rencontre, la demande, la bague, les projets. Elle serait sa demoiselle d'honneur bien sûr. Elle était ravie, évidemment. Elles se dirent au revoir et c'est la main un peu tremblante qu'elle raccrocha.
 
            Son regard, concentré jusque-là sur les pages de son roman, fut attiré par un mouvement dans la rue, devant le restaurant. C'était cette blonde superbe qu'il avait déjà croisée au bureau. Elle était au téléphone. Il s'inquiéta soudain, voyant son visage, du fait que les nouvelles reçue puissent être mauvaises. Elle raccrocha et, figée, resta là quelques secondes à fixer l'écran de son portable. Puis, dans un geste lent mais d'une grand douceur, elle croisa les bras, plaça ses mains à hauteur de ses épaules et, comme pour contenir un sentiment trop fort, une douleur trop grande, s'étreignit de toutes ses forces. Son visage était penché vers l'avant, caché par ses cheveux, mais il put voir un éclat de lumière scintiller sur une larme discrète qui, de l'½il au nez, du nez à la bouche et de la bouche au sol avait, malgré elle, divulgué son chagrin. Après un long frémissement, elle releva la tête. Les traits encore crispés par la peine, les yeux humides de larmes, elle croisa son regard.
 
            Ils se regardèrent un long moment. Elle rougit un peu, gênée d'avoir été surprise dans un tel moment. Il lui sourit doucement et fit un geste qui pouvait vouloir dire tout à la fois « Est-ce que ça va ? », « Je peux faire quelque chose pour vous ? » ou même « Courage ! ». Elle répondit par un petit sourire et s'essuya les yeux. Il détourna le regard, la laissant se remettre.
 
            Respirant profondément, elle se rappela que oui, sa s½ur, plus jeune de six ans, se mariait ; que oui, elle n'avait personne dans sa vie ; que oui, elle finirait peut-être sa vie seule. Mais elle avait un travail, un travail qu'elle aimait, pour lequel elle était douée, et auquel elle allait d'ailleurs retourner tout de suite.
Vérifiant l'état de son maquillage dans le reflet de son écran, elle remit de l'ordre dans ses cheveux et, un sourire ému aux lèvres, un peu factice pour qui aurait pris le temps de bien y regarder, retourna s'asseoir à table et annonça la bonne nouvelle.
 
            La journée était terminée. Il avait fini son travail du jour et s'était même avancé sur celui du lendemain. Le soleil était encore bien visible malgré les deux trois nuages qui s'amoncelaient au loin, et il était ravi de pouvoir profiter de son début de soirée. C'était l'occasion d'aller au parc, de flâner un peu avant de rentrer.
Arrivé sur le parking, il sortit ses clefs de voiture, savourant à l'avance la glace qu'il allait peut-être se payer, quand il entendit quelqu'un l'appeler.
            - Excuse-moi. Je travaille dans le bureau à côté du tien et, te voyant partir, j'espérais pouvoir te demander un service. Avec une petite mine désolée, il reprit, sans attendre un signe de sa part acceptant, ou non, la potentialité de l'aider. Je suis sensé faire la fermeture ce soir et on vient de m'appeler de l'école de mon fils pour me dire qu'il ne va pas bien, qu'il ne peut pas rester au centre d'études, que je dois aller le chercher... il laissa sa phrase en suspens. Il savait à qui il s'adressait. Il savait qu'il n'aurait pas à insister plus. Il savait qu'il dirait oui.
Avec un sourire conciliant, tentant d'oublier le parc, la promenade, la glace, il répondit oui, rangea ses clefs de voiture et, les épaules un peu basses, retourna vers l'agence qu'il venait de quitter. Son visage, naturellement souriant, semblait de cire au moment où il ouvrit les portes. Et cette cire, au fil de ses pas, lourds entre les habitacles laissés vides par tous ses collègues déjà partis ; cette cire se fissurait. Le sourire craquait et, déjà, on pouvait voir apparaître, fait rarissime, une moue de dépit, de colère, de rancune sur sa bouille d'heureux inconditionnel.
            Elle était restée tard pour finir de rédiger le contrat. Le client avait mordu à l'hameçon, il ne restait plus qu'à le tirer hors de l'eau, à l'assaisonner, et à le cuire. Avec un petit sourire carnassier, elle ajouta, en petits caractères, les clauses pénales à mettre en application en cas de rupture de contrat. Elle jubilait.
L'agence était vide. Calme. Elle aimait ce moment de la journée où le silence effaçait tout.
C'est alors qu'elle entendit la porte d'entrée se rouvrir, et se refermer un peu brusquement. Des pas lourds dans l'allée. Penchant la tête par la porte entrouverte, elle aperçut l'homme de la brasserie. Le petit bonhomme chauve qui travaillait deux bureaux plus loin. Il lui avait semblé l'entendre partir plus tôt. Elle avait dû se tromper. Elle allait revenir à son contrat quand elle remarqua l'expression sur son visage. De surprise, elle resta figée et, inconsciemment, le suivit des yeux. Arrivé devant la photocopieuse, il s'arrêta. Ses poings se serrèrent, ses sourcils se froncèrent et, dans le silence de l'agence vidée de ses occupants, se mit à jurer.
            - Saloperie ! Putains de collègues ! Saletés d'égoïstes ! il hésita un instant puis ajouta, un ton plus haut, Merde !! et, dans un geste rageur, il envoya, d'un coup de pied magistral, la corbeille à papier à l'autre bout du couloir... juste devant sa porte.
 
            Leurs deux regards avaient suivi le parcours de la poubelle, rebondissant plusieurs fois, éparpillant des feuilles sur son passage, avant de s'arrêter, tournant encore légèrement sur elle-même.
Il releva les yeux et la vit. Elle leva la tête et croisa son regard. Il était rouge de cette rage qui l'avait habité quelques secondes auparavant, mais ses sourcils, de surprise, s'étaient arrondis au-dessus de ce regard brûlant, de colère, autant que de gêne. Avec un petit sourire compatissant, elle lui rendit ce geste de gentillesse qu'il avait eu pour elle ce jour-là. Est-ce qu'il allait bien ? Est-ce qu'elle pouvait faire quelque chose pour l'aider ?
Il eut un soupir et, haussant les épaules, un petit sourire revenu timidement sur ses lèvres, retourna à son bureau.
 
            Assis à sa table, il fit le point. Oui, il avait perdu sa fin d'après-midi ; oui, il devait arrêter de se faire constamment marcher sur les pieds et oui, ce n'était pas juste... mais il était content, malgré tout. Si son plaisir perdu avait permis le réconfort d'un enfant, alors ce n'était pas un prix trop lourd à payer. Il y aurait d'autres occasions. Il le savait.




            Les mois passèrent. L'été s'acheva, l'automne passa à son tour et vint la période des fêtes de fin d'année. Comme tous les ans, l'agence organisa un pot pour le nouvel an.
Il y allait toujours, ravi de passer un moment plus détendu avec des personnes qu'il appréciait mais qu'il ne voyait, finalement, que dans le cadre du travail. Elle y venait, quant à elle, parce que c'était l'occasion rêvée de nouer de nouveaux contacts, de trouver de nouveaux alliés, de gagner des points.
 
            Ses amis lui parlèrent d'elle comme d'une femme splendide, mais de glace. Sans émotions. Sans c½ur. « Tu vois le genre... »
 
            Un collègue le lui présenta comme un gars simple, brave. Bonne poire si on veut. Sans réel caractère. Utilisable. « Tu vois le type ! »
 
            Ils se retrouvèrent face à face. Surpris, ils se reconnurent. Se souvinrent de cette journée d'été où ils s'étaient vus. Vraiment vus. Au-delà de l'image de gravure de mode sans c½ur et de gentil et accommodant bonhomme. Le regard qu'ils échangèrent à ce moment-là signifiait tout à la fois « Je sais qui tu es » et « Tu sais qui je suis ».
Ils se sourirent alors d'un sourire franc, entendu, transparent, et c'est entre ces deux sourires, sous couvert d'une simple poignée de main et de formules de politesse empruntées, que naquit une amitié des plus improbable !


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#Posté le mercredi 01 juillet 2015 17:27

L'histoire de LA jupe

Kilou va vous raconter l'histoire de LA jupe.

Cette jupe est sublime ! Si, si, je vous assure.
Verte, en lin, avec des boutons en bois, un effet de jupon dans le bas, bref, une merveille!

Qualité supplémentaire (s'il en fallait) elle était à 2¤.

A ce prix-là, limite, on ne l'essaye même pas. On l'embarque, on l'épouse et on vit avec elle heureuse jusqu'à la fin de ses jours.

Mais... après la joie, l'exaltation de la découverte, on découvre, hélas... que la jupe est un 46.

0_0

Mais tant pis! On l'achète quand même et son se promet de découvrir les mystères de la couture pour pouvoir lui faire un lifting (pas facilité par la présence d'une tirette invisible et d'une ceinture intégrée) !

Au bout d'un an, les beaux jours reviennent, Kilou s'attelle à la tâche!

Calculs alambiqués pour savoir où, combien, pourquoi (la couture, ça a un petit côté mystique, si si) couper. Puis réalisation rapide de "de toute façon, si je me base sur des calculs, ça sera pas droit".

Donc Kilou se lance ! Elle a pas froid aux yeux, elle met des épingles partout (y compris dans son... sa cuisse, au troisième essayage), coupe précautionneusement (demi centimètre par demi centimètre (sachant qu'on veut passer d'un 46 à un 38... ça en fait des demi-centimètres!)), essaye, replace les épingles, réessaye... et commence à coudre.

Partie du bord inférieur, elle avance doucement. Arrivée à la tirette, elle voit l'horizon, elle voit le bout de cette histoire... elle se voit porter (enfin!!) la super jupe trouvée, magique, pas chère, trop belle, tout ça tout ça.

... pour se rendre compte qu'au niveau de la ceinture, y'a 2 centimètres de différence...

Bon... ben on va découdre tout ça hein...

RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! ! ! ! !
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#Posté le lundi 01 juin 2015 15:48

Modifié le samedi 10 décembre 2016 03:29

Justice

Quand on est enfant, on pense que la vie est juste... on pense que si on agit bien, on aura ce qu'on mérite.
 
Mais la justice et le mérite... n'existent pas !
 
Le temps passe, les événements s'enchaînent, et on se surprend à penser "ce n'est pas juste", "je n'ai pas mérité ça"... et on réalise qu'il faut être un enfant pour imaginer que la vie est juste. Pour croire que si on est bon, on sera récompensé, que les gentils ne subissent pas le malheur, que les méchants n'y échappent pas toujours.
 
Il faut être un enfant pour ne pas voir que la vie est injuste.
 
Qu'elle est arbitraire ! J'aurais voulu dire "cruelle", mais ça supposerait une volonté, un désir de nuire. Or non... Elle est indifférente. Terriblement indifférente.
 
Quoi qu'on fasse, peu importe si on essaye d'être bon, peu importe si choisit d'être mauvais, la vie ne fera pas de différence.
 
Elle peut nous apporter le meilleur, comme le pire.
 
Les plus belles choses, et les plus terribles.
 
 
... et on ne peut absolument rien y faire.
 
 
Je trouve ça triste... profondément triste.
 
 
Car dans ce cas... pourquoi choisir de bien agir ?
 
Pourquoi se battre pour faire du mieux ?
 
Comment espérer ?
 
Pourquoi espérer ?
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#Posté le jeudi 16 avril 2015 12:30

Envolée lyrique d'une réunion soporifique

Envolée lyrique d'une réunion soporifique

 

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#Posté le mercredi 18 mars 2015 15:26

Arbre sous la neige

Arbre sous la neige

 

Fusain sur papier, dessin fait en partie à la gomme.
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#Posté le lundi 09 février 2015 12:03

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